Bagnolet Robespierre : un chantier au service de tous
4 avril 2017
Sur la phase de construction, Novaxia a intégré des clauses sociales d’insertion professionnelle dans les contrats de travaux. Ainsi, la construction de ce projet permet de générer jusqu’à 7 500 heures de réinsertion professionnelle.
« Je suis coffreur-boiseur et je travaille sur le chantier de Bagnolet Robespierre depuis le mois de septembre. Je suis originaire du Mali, et je suis en France depuis 10 ans. Depuis plus d’un an, je travaille pour l’entreprise CBC (Groupe Vinci) avec un contrat de réinsertion. Je travaille 35 h par semaine. J’ai commencé à travailler sur ce site dans une équipe sur le premier niveau de sous-sol. Le chef de l’équipe a apprécié ma façon de travailler, et a donc souhaité que je reste dans l’équipe pour travailler sur les coffrages de plancher, étage après étage. J’ai également travaillé sur d’autres choses. Surtout, depuis que j’ai pu passer le diplôme de CACES 9 [certificat d’aptitude à la conduite en sécurité d’engins de manutention sur chantier], je peux conduire les charriots-élévateurs. Ces heures de travail d’insertion professionnelle me permettent de continuer d’apprendre tous les jours de nouvelles choses, de me perfectionner, de me spécialiser et de me stabiliser. » explique Bamba Diallo, ouvrier en insertion engagé sur le chantier.
De plus, Novaxia a piloté la dépollution de cette friche industrielle, polluée au pyralène par des transformateurs électriques.
Depuis 10 ans, le terrain était à l’abandon, squatté et encombré par des transformateurs électriques polluants. Novaxia a pris en charge la remise en valeur du site par la réalisation de la dépollution issue de cette exploitation industrielle en excavant 20 000 m3 de terre.